Le nombre de décès prématurés dus à la pollution atmosphérique continue de diminuer dans l’UE, mais des efforts supplémentaires sont nécessaires pour parvenir à un environnement exempt de substances toxiques
La qualité de l’air en Europe ne cesse de s’améliorer et le nombre de personnes qui meurent prématurément ou souffrent de maladies dues à la pollution atmosphérique est en baisse. Toutefois, selon l’analyse de l’Agence européenne pour l’environnement (AEE), publiée aujourd’hui, la pollution atmosphérique reste le principal risque sanitaire environnemental en Europe, et des mesures plus ambitieuses sont nécessaires pour respecter les lignes directrices sanitaires de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).